HOROSCOPE HUMORISTIQUE

BELIER (23 mars-19 avril) :

Vous avez la manie d’essayer de défoncer les portes en donnant des coups de boule dedans. Mais cela ne fait rire que vous, vous êtes la brebis galeuse du troupeau. Amour : vos cornes continueront à pousser. Travail : vous n’êtes qu’un mouton parmi les autres. Santé : vous sentez le bouc et vos pieds, le fromage de chèvre. 

TAUREAU (20 avril-20 mai) : 

Capable des pires vacheries, attention à ce qu’on ne vous coupe pas les oreilles et la queue… Amour : méfier vous des vaches folles ! Travail : vous êtes un excellent reproducteur et avez un grand avenir… auprès de la photocopieuse. Santé : n’abusez pas de l’herbe. Vous devenez sexuellement inactif et deviendrez bientôt un bœuf. 

GEMEAUX (21 mai-20juin) :

 Votre personnalité est double , vous êtes bi : bipède, biodégradable, bigot avec une tête de bigorneau. Amour : inutile de serrer les fesses, vous serez forcé de devenir bisexuel. Travail : peut être en trouverez-vous à la prochaine année bissextile ? Faites un bilan. Santé : problème de bile, arrêtez de prendre des bitures. Vous devenez bigleux, prévoir l’achat de binocles.

CANCER (21 juin-22 juillet) : Vous êtes un chien enragé, une plaie pour tout le monde, l’amanite phalloïde de l’espèce humaine. On vous évite comme la peste et le choléra. Amour : risque de maladies sexuellement transmissibles ? Aucune chance, il faut être 2 pour pouvoir en attraper… Travail : la médecine du travail demandera votre mise en quarantaine. Santé : ah ! Ah ! Ah ! Vous portez bien votre nom ! 

LION (23 juillet-22aoùt) : 

Vous vous croyez beau, mais vous perdez vos cheveux. Vous êtes fier, vaniteux, macho et fainéant. Amour : vous n’êtes pas prêt de rugir de plaisir ! Travail : vous perdez tout l’argent placé au crédit lyonnais. Santé : allez chez le dentiste, vous avez une haleine de chacal et des dents de hyènes. 

VIERGE (23 août-22 septembre) : 

Vous ne servez à rien, personne ne veut de vous. Vous êtes inutile et inutilisé. Amour : calme plat. Ce n’est pas encore cette année que vous changerez de signe. Travail : votre prochain bulletin de salaire sera vierge. Santé : des nausées ? Des envies ? Attention à l’immaculée conception ! 

BALANCE (23 septembre-22 octobre) : 

Vous êtes incapable de prendre seul la moindre décision. Vous êtes une personne influençable. Il est extrêmement facile de vous faire pencher d’un côté, puis de l’autre. De toute façon de votre avis, on s’en balance ! Amour : vous allez vous faire balancer. Travail : licencié ? Pas licencié ? Vous êtes sur la balance. Santé : très importante prise de poids à prévoir. 

SCORPION (23octobre-21 novembre) : 

Rien dans la tête, tout dans la queue. Vous ne pensez qu’à vous en servir et vous la promenez fièrement au dessus de votre tête. Pourtant, il n’y a pas de quoi être fier, elle est tordu et crochue. Amour : tous vos partenaires décéderont au premier coup de queue. Travail : rien. C’est le grand désert. Santé : attention aux coups de chaleur et aux insolations. 

SAGITTAIRE (22 novembre-21décembre) : 

Ri-di-cu-le ! Franchement, quand on a le buste d’un homme et le postérieur d’un cheval… Amour : tout juste bond à bander votre arc. Si seulement vous étiez monté comme un âne… Travail : vous n’êtes pas une flèche, vous ne décrocherez pas de job. Santé : lorsque vous marchez, vous faites des crottins de cheval. Il est grand temps de consulter un médecin ! 

CAPRICORNE (22 décembre-19 janvier) : 

Inutile de vous moquez des sagittaires… Avez-vous vu à quoi vous ressemblez ? Avez-vous mangez trop d’O.G.M ? Êtes-vous un mutant ou bien votre père est-il bouc et votre mère sirène ? Si oui, non seulement on aimerait bien savoir comment s’y sont pris vos parents pour se reproduire, mais on aimerait aussi poser quelques questions à votre grand père maternel zoophile… Amour : celui qu’a pris corne sur la tête a trop travaillé et a trop délaissé son compagnon. Travail : celui qu’a pris corne aux mains a beaucoup travaillé et a pris corne sur la tête. Santé : pensez à raboter vos cornes. 

VERSEAU (20 janvier-18 février) : 

Vous n’êtes qu’une goutte d’eau dans la mer. Vous n’avez rien dans la carafe et êtes tout juste bon à servir à boire. Amour : buvez un grand verre d’eau et pensez à autre choses. Travail : tous vos projets tomberont à l’eau. Santé : c’est le flop total. Mettez de l’eau dans votre vin si vous ne voulez tourner en eau de boudin. 

POISSONS (19 février-22 mars) : 

Avec votre queue plate et vos yeux de merlan frit, vous avez raison de ne pas quitter les profondeurs. NB : Si vous êtes un poisson d’avril, c’est que vous êtes bélier. Amour : les morues sont en vue, mais les moules resteront désespérément fermées. Travail : jetez-vous à l’eau ! Et vous boirez la tasse… Santé : votre peau s’écaille, vous sentez la marée basse.

DURE RÉALITÉ

Petit truc bizarre de la vie : " J'invite ma copine au restaurant pour son anniversaire. Jusque là, rien d'anormal ni d'original. Elle est super sexy, elle a vraiment sorti le grand jeu (maquillée, peignée, dessous sexy...). Je pense que je vais passer une bonne 2ème partie de soirée (que je vais baiser pour ceux qui n'auraient pas piger !)... Tout se déroule à merveille (je suis au top, pas obliger de le dire mais j'aime bien), nous rentrons chez nous tout excités (surtout moi), on part dans la chambre et elle me prétexte un laps de temps histoire de se préparer... Je m'execute et m'attend donc à voir arriver une femme fatale d'une beauté et classe incomparable mais au lieux de cela, une demi heure après elle arrive accoutrée d'un pyjama BABAR que limite avec un anorak elle serait plus bandante... Je laisse libre à votre imagination la morale de cet histoire 

BREF JE ME SUIS TAPÉ UNE MARCHANDE D'AMOUR

Je vais tout d'abord commencer en m'excusant pour ma période d'abstinence  " chronicienne " et en précisant que toute ressemble avec l'histoire qui va suivre à une " true-life " et des personnes réelles serait totalement fortuite.
Dans un premier temps je souhaite parler brièvement de la prostitution. Mon regard sur la chose a énormément changé avec les années. On va dire que plus jeune je pouvais mépriser une personne exerçant cette activité ou ayant recours à ces services alors que maintenant je suis plus ouvert sur la question et je trouve très respectable une personne qui se prostitue si bien entendu elle fait cela par choix, dans le respect et dans de bonnes conditions ce qui n'est malheureusement pas le cas aujourd'hui. Loin de moins l'idée de faire l'éloge de ce " métier ", je ne suis pas pour le tapinage mais comme expliquer ci-avant ma vision sur le monde change avec le poids des années et je porte une profonde attention sur les actions que l'on puisse commettre sans continuellement apporter un jugement de valeur qui sont évidemment adapté à chacun " On a tous raison en fonction de notre point de vue propre " et plutôt me tourner vers une réflexion qui amène à ces échéances de pensées.
Bref je suis chiant avec ma philo de comptoir et m'en vais directement commencer ma chronique après cette introduction qui se veut en partie justificative du fait d'aller voir une femme légère tarifée...

Un jour où j'en avais marre des relations éphémères avec les cassos, pintades de Tinder et autre sites de rencontre ou des filles pas spécialement à mon gout autant pour leur physique que pour leur absence de personnalité, j'ai eu la brillante idée de me tourner vers la prostitution pour une recherche aux antipodes des éléments cités ci avant !
Je me rappellerai toujours cette formidable et grande discussion lors d'un apéritif que j'ai pu avoir dans ma vingtaine avec un autre entraineur de football, je l'étais aussi dans le club house avec les familles et au milieu des gosses de son expérience en Espagne avec une pute. Après on va dire que les footballeurs sont des cons mais ce soir là mon homonyme frôlait le génie...
Il se trouve qu'il avait fait le voyage avec des amis et il nous partagea sa visite et sa vision de la culture espagnole. Bref pour mieux apprécier les coutumes il trouva opportun de picoler et de prendre du viagra avant de rentrer dans ce type d'établissement. En fait il était à la frontière espagnole et s'apprêtait à rentrer dans un bordel, terme assez paradoxal tant l'endroit été classe et bien rangé. Ces premiers mots pour définir cet maison close fut qu'il se sentait comme un Dieu et que pris par de tels sentiments il en perdit sa lucidité et partit avec la première venue faire sa formidable affaire. Je passerais les détails sur ses supposés qualité d'étalon... 
Je me rappelle de ma réaction initiale d'acquiescement à l'époque où estomaqué par tant d'assurance et d'impertinence, je suis resté stoïque. J'avais mon jugement négatif du moment mais je l'ai gardé pour moi. Si c'était à refaire je pense que j'élèverai le débat mais surtout prendrais l'initiative de remettre à plus tard cette conversation s'apparentant plus à un monologue à un lieu plus opportun à ce type d'échange...
Donc une dizaine d'années plus tard, pour ficeler la boucle je me suis dis qu'il fallait que je me fasse mon propre constat. Pour cela je me suis diriger vers l'Espagne avec pour seule expérience celle citée précédemment et une enquête préalable sur internet quant aux tarifs appliqués. Ma principale exigence était de rencontrer une fille canon à mes yeux, une fille que l'on ne voit pas à tous les coins de rues et avec qui rien ne serait possible dans la vie réelle. Là je m'avance un peu trop vite car on a tendance à trop rapidement mettre des personnes sur un piedestal et du coup les rendre nous même inaccessible en les regardant de loin sans jamais essayer d'approcher ou toucher le but convoiter. J'évalue une tactique et me dis qu'en y allant en semaine et à l'ouverture il y aura certainement moins de monde et je serai surement la première personne de la journée qui fera affaire avec la fille. Avant de rentrer dans l'établissement, je suis allé faire des courses car les prix en Espagne sont beaucoup plus attractif qu'en France. Pour le lieu j'ai donc choisi le Paradise à la Jonquera qui est le plus grands prostibule d'Europe. Je m'apprête donc à rentrer en fin d'après midi et contrairement à mon " ami " je n'ai absolument pas pris une quelconque substance dopante... L'entrée se fait comme dans une boite de nuit avec un guichet où l'on doit montrer patte blanche. Je m'acquitte de la somme, on me remet une consommation à récupérer au bar et je rentre dans " l'antre de Dieu ". Il se trouve que c'est plutôt calme, il n'y a pas grand monde, je me dirige d'un pas décider vers la boisson qui m'est offerte avec le paiement de l'entrée. Je m'assis tranquillement au bar et commande une eau pétillante avec des glaçons et une rondelle. Je précise de citron car dans ce genre d'adresse on peut vite faire des amalgames... Je bois tranquillement mon verre et commence à scruter du regard la salle. Les hommes présents sont tous très chics comme s'ils avaient un besoin de plaire alors que la barrière ici est seulement une question de trésorerie. On range complètement au placard notre sex appeal et l'on ne voit en nous qu'un porte monnaie plus ou moins garni. Je m'égare et dénature la pauvre personne qui se trouve là. J'en profite donc pour siroter une gorgée en m'adonnant à un défilé de salopes toutes plus belles les unes que les autres... Elles sont toutes en petite tenue très sexy laissant apparaitre leurs formes et leur exquise beauté. Tout à coup une jolie blonde à la poitrine naturelle passe au loin devant moi et en s'éloignant je peux apercevoir autour de son string, la cellulite ou peau d'orange baver sur ses fesses. La culotte de cheval, cet amas de cellules adipeuses venant se stocker et rendant les parties sexy d'une femme dégueulasse... Par exemple mon ex avait tellement de peau d'orange que si je lui avais pressé les cuisses il en serait sortit ma vitamine C pour l'année... Je suis toujours accoudé au bar quand 2 femmes s'approchent et commencent un marchandisage oppressant envers moi. Les 2 étaient brunes avec des plastiques plus que respectables. L'une était le sosie d'Inna la chanteuse dance pop roumaine. L'autre était plus athlétique mais avec une salle gueule. Elles me proposent un duo ceux à quoi je rétorque avec une incroyable modestie ne pas être intéressé pas parce que je manque d'arguments mais plutôt par manque de moyens... Je les trouve un peu agressive et me sens comme un morceau de viande ce qui est assez paradoxal dans ce genre de lieu car elles ont réussis à retourner la situation en devenant les chasseuses et non la proie... Finalement je me laisse convaincre par le sosie de la pop star et délaisse l'adepte de fitness. Je suis donc cette jeune femme moldave en ayant bien entendu préalablement négocié avec elle le temps ainsi que le tarif de ses prestations. Nous arrivons dans un hall desservant les chambres et l'on doit encore payer quelques écus auprès d'une femme de ménage pour des draps propres, une ou plusieurs capotes et enfin accéder au Graal si attendu. Nous nous retrouvons dans la chambre et elle commence à prendre les devant en m'allongeant sur le lit et en me demandant de me détendre. Elle ouvre le préservatif et me l'installe sur le sexe avec sa bouche. C'est un condom rouge, je me retrouve un peu comme avec un nez de clown sur le gland. Il est assez bizarre car très épais, on aurait dit que l'on m'a mis un gant en plastique isolant d'électricien sur la bite tellement j'avais peu de sensations... Enfin suite à une fellation énergique, elle me grimpe dessus avec ses seins siliconés, de ceux qui lorsqu'elle s'allonge sur le dos à la plage ne retombent pas... Elle me demande de me relaxer et entreprend des va et vient sur mon sexe en érection mais sans aucune excitation du fait de l'épaisseur du capuchon indispensable que j'ai autour du sexe. Son massage se veut toujours de plus en plus énergique, elle reste très collée à moi lorsque je m'aperçois qu'en fait elle masque sa main avec laquelle elle est entrain de me branler en simulant la position de l'amazone. Le fait d'apercevoir la ruse moldave et la supercherie dont je viens d'avoir été la victime me fait retomber la trique. Elle aura beau s'employer nerveusement à me redonner l'envie, je n'arriverai guère qu'à éjaculer en me finissant tout seul à la main tellement cette carapace rouge sur la verge annihiler tout plaisir... J'étais forcément déçu et cela toucha mon égo, moi Mr 99 % de donneur d'orgasmes féminins...
Bref je repars tout de même avec une leçon de vie. Je l'ai enrichie d'une nouvelle expérience certes non concluante dont je vous fais profiter et qui je l'espère vous aura plu pour ceux et celles qui la liront. Je vais essayer d'être un peu plus productif en terme d'écriture dans les semaines à venir, alors n'hésitez pas à me dire ce que vous pensez pour que je puisse m'améliorer et parler de sujets qui seraient susceptibles de vous intéresser d'avantage....

MON PASSAGE SUR EUROPE 1

Alors aujourd'hui je vais vous parler de ma folle aventure Twitter ! Il se trouve que le 13 juin, le jour de mon anniversaire j'ai eu une idée folle celle d'inventer l'... Oups je m'égare, je n'ai rien inventé, même pas l'eau chaude pour faire cuire les pâtes... 
Bref, pour mes 33 ans, l'âge du Christ, d'ailleurs j'avais eu une idée c'était de réaliser 10 commandements, finalement ce sera un blog commandé par mon cerveau qui doit se trouver bien bas vu la nature des propos que je transpose sur celui-ci... 
Revenons donc à mon inscription qui au départ se voulait seulement pour y mettre mes chroniques pour vous faire partager un mélange d'histoires et d'anecdotes, que dis je des " anecstoires " ou " hisdotes " c'est vous qui voyez !!!
Il se trouve que je me prends au jeu des hashtags même si je trouve qu'il est difficile de s'exprimer intelligemment en 140 caractères... Je ne vais pas m'étendre sur le réseau social et juste parler de mon passage à l'antenne d'Europe 1. Il se trouve que samedi matin, sur twitter, Europe 1 lance une question sur la jalousie dans le couple et je twitte exactement ceci :
" Le soucis en amour, c'est qu'on a tendance à croire que l'autre est notre propriété d'où sentiment de jalousie... #E1service "
À midi je reçoit un message via le système de messagerie de l'application d'une femme qui se présente comme Marie, juriste de l'émission qui me dit que l'animateur a bien aimé mon commentaire et si je voulais passer en ligne le lendemain sur leurs ondes quelques minutes. Je lui répond oui. Elle me propose de m'appeler dans l'après-midi pour tester la ligne et convenir avec moi d'une pré-interview pour m'expliquer le déroulement de demain. Elle m'appelle vers 14h15 sur mon téléphone fixe et m'explique le concept de l'émission animée par Roland Perez qui correspond plus à un talk chaud du genre " C'est mon choix ". Elle me demande si j'ai une anecdote sur la jalousie que j'aurai vécus... Alors des histoires j'en ai pleins à lui raconter mais je lui répond que je ne veux pas faire confessions intimes et passer pour un con, enfin je lui sort pas du tout ces mots mais c'est ce que je pense sur l'instant... Je lui répond tranquillement en argumentant ma citation Twittesquienne ! Je lui donne plutôt une réponse d'un gars qui leur explique le concept et intellectualise la jalousie... Bref, je dois être trop intelligent et cérébral pour ces programmes là... Elle me répond juste qu'elle prend note de mon témoignage, le fait passer au principal intéressé et si je suis retenu, ils m'appelleraient demain en début d'après midi. Je suis un peu déçu car ne m'attendais pas à ça et moi qui me serait au départ isoler et préparer pour mon premier passage radio en direct décide finalement de faire ma vie et on verra bien s'ils m'appellent... Le lendemain j'ai prévu de voir des potes autour d'un brunch dans une pool partie avec piscine, un cadre très sympa pour un débrief. Le matin je leur envois un message pour leur dire de plutôt me joindre sur mon portable en leur demandant s'ils comptent finalement me joindre. Marie me répond qu'ils téléphoneront entre 12h40 et 13h30.
Je me trouve donc avec mes potes, installé et prêt à sauter sur le brunch. Pour ceux qui ne connaitraient pas ce concept, c'est un type de repas qui se prend entre la fin de matinée et le début de l'après midi (entre 11h et 15h environ) et qui combine des plats et boissons typiques des premier et seconde bouffes de la journée, en commençant généralement par le sucré. Le terme brunch est un " mot valise " anglais, combinant les mots breakfast et lunch. Il se présente souvent sous la forme d'un buffet où chacun vient se servir en fonction de ses goûts et de son appétit. Réellement c'est l'astuce trouvée par les restaurateurs de ne pas cuisiner le dimanche en accueillant tous les gens avec leur gueule de bois de la veille n'ayant le courage de se mijoter un truc et leur faire payant une blinde un croissant avec sa tranche de saumon accompagné d'un jus de fruit bio... 
Bref ce qui est sympa lorsque tu te retrouves entre potes c'est que tu peux en profiter pour critiquer les absents ou tout simplement te raconter des anecdotes et il se trouve que la mienne est toute trouvée. Ils sont content pour moi et on s'amuse de la situation mais plus le chronomètre tourne, plus je flippe. En plus j'ai une envie de chier pas possible mais je me retiens car pas envie de répondre à la radio en étant aux toilettes. Comme le meilleur est toujours pour la fin, mon téléphone sonne pour la dernière interview, je décroche à Marie mais mon passage est compromis car j'ai un peu trop utilisé la fonction mode avion en le jetant et croyant qu'il allait s'élever vers le ciel mais non il est tombé comme une merde au sol du coup le micro ne marche plus très bien... Bref je lui communique celui d'un pote et illico elle me rebriefe en me disant que lorsque Roland s'adressera à moi je pourrai lancer mes premiers mots à la France entière... Je me retrouve donc en direct, j'entend l'intégralité de l'émission, une femme est entrain de communiquer ses ressentis et je comprends vite que ça va être mon tour. L'animateur me présente rapidement " Tony, 33 ans " puis s'adresse à moi. Je lui explique alors que si je suis là c'est parce que c'est eux qui m'ont contacté via un Tweet et je reformule la pensée de ma phrase exposée plus haut. Il me répond " Ok, ça on en a déjà parlait mais vous, vous n'avez rien à raconter de personnel ? " Je lui répond franchement que je ne suis pas quelqu'un de jaloux et que pour moi la principale chose qui fait que l'on aime une personne c'est de respecter son intimité et que le fait que l'on puisse faire des choses individuellement est tout à fait respectable et contribue à l'équilibre d'un couple. Je lui parle aussi des différents types de jalousies en amour, en famille, au travail et il me reprend pour me dire que le thème d'aujourd'hui est celui du couple. J'ai dit cela mais pas exactement formulé de la même manière car on a le recul des mots employés derrière un clavier... Il m'écoute très brièvement et passe directement à autre chose, même pas le temps de dire un au revoir, ça a du durer tout juste 30 secondes, je suis officiellement l'élocuteur précoce à la radio. Je me retrouve à écouter la fin de l'émission jusqu'à ce que Marie me reprenne pour me remercier de mon témoignage. Je raccroche déçu. C'est dommage j'avais pleins de trucs intéressants à dire. C'est certain que si j'avais brodé en racontant une histoire comme dans mes chroniques, ils m'auraient gardés un moment. Et puis ils auraient kiffé m'écouter me plaindre en disant que je ne comprends pas ce qui m'arrive et l'autre con de Psy m'aurait réconforté avec ses sermons à 2 balles sortis tout droit de ses cahiers d'écoles...
Du coup je retourne voir mes potes et profiter du reste de la journée. Je peux également aller faire caca ce qui je trouve est un bon résumé de l'article que vous venez de lire tant j'ai réussi à broder un texte avec si peu de fond à exploiter...

DOMMAGE C'EST TOUJOURS TROP COURT... suite et fin

Je me lève avec mon projet en tête dont je vais aussitôt vous faire part. Il se trouve que nous avons précédemment échangé au sujet d'une lecture qui je vous le rappelle parlait d'un type qui allait se suicider et qui fut sauver par un guide qui lui donnera les clefs pour réussir sa future vie en affrontant ses problèmes... Bref, il se trouve que ce sympathique gars, je l'ai vu hier soir dans mes rêves et il m'a intimement convaincu de me bouger les fesses et foncer vers la fille géniale qu'est Lexie... Voilà mon point de départ pour espérer conclure, le reste viendra ensuite et je broderai mes plus beaux vers par dessus cette histoire et l'affaire sera en poche...
On est vendredi matin, il ne se passera rien d'intéressant dans la journée à part le fait que je me sois bien éclaté en visite et farniente autour d'Arcachon... Ce soir c'est la dernière soirée du séjour, celle de la dernière chance pour espérer avoir une aventure. Personnellement je n'ai aucune attente avant chaque vacances sur ce sujet et si ça arrive c'est que du bonus pour moi. Contrairement à ceux que l'on peut penser car derrière un écran je suis beaucoup plus virulent et manque parfois d'humilité mais c'est pour mieux rentrer dans le personnage de connard... Si je rencontre quelqu'un, j'espère toujours qu'il y aura un après même si je sais qu'avec la distance rien n'est simple... En même temps je ne sais rien de Lexie et c'est justement ce qui m'excite, le challenge et en savoir davantage sur elle !
Je vais rapidement expliquer le concept de soirée de la dernière chance. Lorsqu'on est dans un séjour comme celui ci entre célibataires du même âge, en général pour décompresser de la super semaine on la termine par une soirée jusqu'au bout de la nuit sachant que le lendemain on restera tranquille car plus d'activités et tous les plans imaginés dans la semaine autour des rencontres potentielles, des regards lancés, des affinités créées peuvent se révéler. On peut même avoir quelques surprises car l'on sait que l'on ne se reverra pas et l'alcool peut aider à désinhiber et simplifier des situations qui en début de stage nous auraient parues incongrues... Pour ma part je ne cède pas aux sirènes de l'ivresse et arrive en toute circonstance à garder un pied à terre et à réfléchir avec mon cerveau plutôt qu'avec ma bite, je ne suis jamais sorti ni avec un animal blessé ni un animal qui ne me plaisait pas et dont je n'avais pas envie. Je sais mon humilité et ma modestie derrière un écran n'ont d'égales que ma prétention, ma fierté et mon arrogance dans la vie réelle... Par contre ce n'est pas le cas de tous et par exemple les coachs de surf si estimés et géniaux durant leurs cours sont devenus des requins affamés sans plus aucune âme lors de cette ultime nuit. Ç'en était pitoyable de voir un type qui aurait simplement claqué des doigts dans la semaine, un milliers de filles auraient accourues et le voir titubé et devoir s'accrocher de tabourets en tabourets pour ne pas tomber et se jeter sur des proies dociles aussi facilement sans les respecter était un spectacle triste... Comme quoi boire de l'alcool pour se donner du courage peut parfois avoir du bon mais c'est comme tout lorsqu'on abuse... On devrait souvent choisir de rester simple et être aimer pour ce que l'on est vraiment et non pour une image que l'on renvoie...
Bon tout ça on s'en fou, ce que l'on veut savoir c'est si mon plan va se dérouler sans accrocs... Moi aussi je participe à cette dernière fête entouré de femmes de mon groupe de fitness avec une amertume, c'est de devoir les quitter car je me suis vraiment attaché à elles au cours de cette superbe huitaine de jours. Il commence à y avoir une ambiance de nostalgie qui nous entoure et puis le dance flor nous appelle et j'ondule mon corps, enfin je fais la danse du roseau vu ma souplesse et mon sens du rythme légendaire. Toujours pas de Lexie en vue dans la taverne où nous nous trouvons avec toute la troupe UCPA et je pense déjà à demain et aux au revoir en terminant les fonds de verres sur notre table. Le bar va fermer ses portes, certaines filles rentrent se coucher mais d'autres vont terminées la soirée dans une boite dans laquelle elles me proposent de les rejoindre quand tout à coup je la vois, elle se trouve quelques tables plus loin, le dénouement est proche, je vais pouvoir exploiter son ébriété et foncer dans le tas avec mon stratagème. Nous nous dirigeons tous vers la sortie et nous regroupons à l'extérieur pour se consulter pour savoir qui fait quoi. Je m'esquive et prend enfin mes responsabilités et me jette sur Lexie et son vélo. Vous vous demandez bien ce que fou un vélo dans cette histoire mais il se trouve que notre logement de fortune constitué de dortoirs de 4 est à 20 minutes d'ici à pied et qu'il est vrai que certaines personnes astucieuses avaient pris le soin de louer un vélo pour la semaine pour réduire le temps entre la plage et le camp... Bref nous nous retrouvons en face à face, un vélo entre nous, nous aidant à maintenir une certaine stature de fin de soirée très arrosée de façon réciproque. Je commence mon génial verset rêver toute la nuit en lui prenant la main et après quelques mots, 2 peut être, je lui mange la bouche en maintenant mon regard ravageur. Elle ne peut que succomber et nous échangeons quelques phrases, elle aimerait que nous terminions ensemble mais juge que ça ne serait pas raisonnable. Moi je m'en fou j'ai fait ce que je voulais et comme je le disais précédemment je rêve d'une aventure sans limite de temps mais je suis aussi tellement influençable et l'idée de me coucher à ses cotés ne me déplairait pas sauf dans le cas actuel de dortoir et l'idée de faire la chose dans un hamac à la vue de tous si nouveau soit il pour moi me déplait car j'aime être parfait et batifoler dans de bonnes circonstances pour faire éprouver un plaisir intense à ma partenaire. Une copine à elle nous rappelle à la réalité du moment et lui dit qu'elle rentre alors elle la suit. Je m'attelle à lui courir après mais les Mojitos remontent allègrement donc je me ravise et marche paisiblement seul dans la nuit serein et reposé, une sensation que je n'avais plu éprouvé depuis un bon moment. Quand j'arrive à l'UCPA tout le monde est couché, je n'ai pas envie de dormir tout de suite alors je tourne et retourne en regardant les étoiles et me rappelle de mon ex en me disant que finalement les étoiles je les préfère dans le ciel... Je vais finalement au lit, mes colocs dorment déjà et m'endort comme un loir malgré la musicalité des pets et ronflements qui m'entourent et me rappellent l'atmosphère d'une bergerie...
Le lendemain matin, levé aux aurores, je suis un matinal et ne fait jamais l'impasse sur mon petit déjeuner ! Je m'installe sur une table au soleil, les autres arrivent et s'installent tour à tour autour du maître des lieux proclamé à l'aube de cette journée fatidique de séparation... Lexie arrive, je me lève et me dirige aussitôt vers elle. Elle m'arrête et me dit qu'elle regrette ce qui s'est passé hier, qu'elle avait trop bu, me demande d'où je suis avec mon accent chantant. Je lui répond de Montpellier alors que j'apprends qu'elle vient de Lille. " Tu vois me dis elle résignée, c'est perdu d'avance, c'est une question de distance... " Certes elle a totalement raison mais je la reprend et lui dit que contrairement à elle je ne regrette rien et que si c'était à refaire je le referais même en sachant les montagnes qui nous séparent... Elle acquiesce et me dit que se sentir aimer un instant est toujours agréable. Je dis souvent que les câlins c'est comme les j'aime sur facebook, on les demande pas mais quand ça nous arrive ça fait toujours énormément de bien ! Nous échangeons tout de même nos coordonnées. Bref je la laisse filer vers son estomac et prendre son café matinal et retourne faire l'imbécile autour de ma tablée. Je suis content de cette expérience mais forcément déçu par cette fatalité et me dit qu'elle a peut être employer ces mots pour ne pas me blesser...
C'est bien dommage, je prendrais finalement congé de cette formidable semaine bien entouré, avec des amitiés naissantes et des retrouvailles programmées avec certaines personnes ! Je finis tout de même mon tour par un câlin et un bisou bien mérité. Ses amis m'appellent champion ce qui n'ai pas pour me déplaire même si j'en ai l'habitude car la route est longue vers le retour à la vie réelle...
  

DOMMAGE C'EST TOUJOURS TROP COURT... seconde partie

Bon maintenant que je suis tout émoustillé par les événements précédents, je sais ce qu'il me reste à faire. Laissons passer l'orage de commentaires de mes camarades plaisantins dont je fais l'objet qui fait terriblement monter la pression en moi et qui engendre du coup une demande de résultat ce qui a tendance à me refroidir car en amour je préfère faire les choses spontanément et surtout avec envie. Je m'explique rapidement avec un exemple concret. Lorsque tu es un mec génial comme moi et que tes amis ne comprennent toujours pas que tu sois toujours seul, surtout les copines de tes potes qui veulent te refiler leur géniale meilleure amie qui est un aimant à connard, tu es parfois pris à partie pour des soirées pas si improvisées que ça... Il se trouve qu'en ces moments là, même si la fille en face de moi est formidable, j'y vais avec un frein, que dis-je je dresse un mur entre elle et moi ce qui aura pour conséquence de faire 3 déçus, mes amis, leur copine si je lui ai plu et moi qui ai le sentiment de les faire souffrir à cause d'une carapace que je me suis forgé...
Bref, passons et revenons en à la belle Lexie qui n'attend plus que moi, enfin le beau moi qui n'attend que Lexie !
Suite à cet apéro où j'en ai formidablement pris plein la vue, il se trouve que sur notre lieux de vacance, il y a la soirée des animateurs qui nous feront une représentation qui d'ailleurs sera géniale. Les chaises pour le spectacle sont installées, Lexie est entourée de ses amis. Je vois qu'il y a une place libre juste derrière elle, je fonce mais elle est déjà prise. Du coup je m'assois où il y a de la place. La pièce terminée, je me retrouve au bar, la coach de sport m'y rejoint pour me demander comment elle était car c'était sa première fois sur scène. La première chose qui me vient à l'esprit était de lui demander si ça lui dirait que l'on fasse du fitness ensemble dans une chambre mais je lui dis tout simplement qu'elle a été parfaite dans son rôle de chaudasse collectionneuse de mecs... Je lui propose un verre qu'elle refuse avec classe en me répondant qu'elle va se reposer car demain elle a 6 cours à animer mais que vendredi soir elle sera open pour partager une coupe avec moi. Elle s'en va et je vois à l'autre bout du bar Lexie, en même temps je ne l'avais pas perdu de vue car mes pensées étaient toutes à elle. Je réfléchie un instant, bois une grande gorgée et me dirige vers elle. Elle vient de commander, je lui tape sur l'épaule et lui propose timidement un verre pour la remercier du bisou qu'elle n'était pas obligée de me faire. Je passe pour un con car elle en a déjà un mais sympathiquement elle me dit "le prochain est pour toi". Nous engageons alors une charmante discussion, de celle dont on peut trouver une subtile séduction qui rend attrayante chaque mots ou expressions employées à des fins consommatrices d'amour autour d'un feu de bois emmitouflés dans une peau de bête... Tout à coup, une fille à qui je plais bien de mon groupe sportif arrive, se joint à nous et un premier triangle amoureux se forme. Ce qui est bizarre dans cette situation c'est que les 2 personnes attirées mutuellement ne s'adressent plus la parole comme s'il y avait un intermédiaire de trop ou plutôt la hantise de vouloir dévoiler l'inévitable emprise de la séduction qui ne peut plus faire machine arrière... Lassée par ce scénario, Lexie nous quitte pour rejoindre sa troupe de gai luron et là commence une éternelle et longue course vers l'ennuie car même si la fille devant moi est peut être plus jolie et très gentille, elle ne m'attire pas du tout... Nous discutons quand tout à coup un sauveur fait son apparition ! C'est un gars super sympa de la team tennis, attiré lui par la belle demoiselle qui est attirée par moi, moi qui suis attiré par la fuite et j'ai surement trouvé ma porte de sortie... Et comme tout à l'heure un autre triangle amoureux se forme, sans finalité possible celui ci et encore comme tout à l'heure tout passe par l'intermédiaire... Abattu par ces échanges mais surtout voyant s'éloigner mon espoir de conquérir Lexie, lâchée dans la cage aux lions et entourée de ses amis et fauve rodant autour d'elle, je pars dépiter vers ma tanière car je suis un couche tôt ou tout simplement un lâche... Je me couche tout de même en élaborant toute la nuit une stratégie imparable pour la séduire, éblouir, captiver, charmer, ensorceler mais surtout persuader que le tigre qui sommeille en moi est inéluctablement fait pour elle...
Demain sera vendredi, dernière journée du stage et je mettrai à exécution mon infaillible plan pour la soirée de la dernière chance !

La suite Prochainement

THOXNNOS DIEUX DU SEXE ET DES FEMMES

Pour les curieux qui se demandent ce que signifie Thoxnnos que j'associe très souvent à moi, je m'en vais vous l'expliquer ! 

En fait il s'agit d'un dieux de la mythologie Crétoise méconnu dont je vous partage une statuette édifiée à son effigie... Pour le reste je vous laisse deviner !!!

Plus sérieusement ce dieu n'existe pas, c'est juste une invention narcissique de ma part. Il se trouve que lors d'un voyage en Crète, j'ai visité le temple de Knossos ou Cnossos qui lui existe vraiment. C'est un site archéologique Crétois de l'âge du bronze en Europe, situé à cinq kilomètres au Sud Est d'Héraklion à l'Ouest du fleuve Kairatos. C'est le plus important des palais minoens et le plus connu des sites crétois depuis sa découverte en 1878. Associé à la légende du roi Minos, le site, occupé depuis 7000 avant J-C, fut la capitale de la Crète lors de la période minoenne. Son aspect et sa taille ( la photo prend maintenant tout son sens, ah ah ) en font un endroit remarquable et incontournable des civilisations de l'Europe archaïque, qui reçoit un demi million de visiteurs par ans...  

Bref après cet aparté " Wikipédesque ", Narcisse revient au galop et lors de ma visite, sur les lieux je me suis fait prendre en photo sur une colonne en ruine et me suis proclamé " Thoxnnos " dieux du sexe en contractant le début de mon prénom Tony et la fin du palais de Knossos ! Alors pour infos, je suis de très bon conseil pour les autres mais je nique pas plus qu'avant... 

Suis-je un bon dieux ? Mythologie ne rimerait pas avec Mythomanie ? Toutes ces questions resteront sans doute sans réponses...